signer la pétition

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Monsieur le Président de la République,

Au moment où l’avenir des retraites du public comme du privé est en jeu, je tiens à vous faire savoir par cette pétition qu’il est primordial de :
- garantir le droit à la retraite à 60 ans ;
- reconnaître la pénibilité par un départ anticipé ;
- assurer une pension au moins égale à 75 % du salaire et en aucun cas inférieure au Smic pour une carrière complète,
- stopper l’allongement de la durée de cotisation ;
- prendre en compte, dans le calcul de la pension, les périodes d’étude et d’inactivité forcée.

Le financement des régimes et la nécessaire revalorisation des retraites passent par l’élargissement de l’assiette de cotisation à toutes les rémunérations, le développement de l’emploi, une augmentation des salaires et une mise à contribution des revenus financiers des entreprises.

Je serai très attentif(ve) aux mesures que vous allez proposer et vous montre, par ma signature, ma détermination à vouloir assurer l’avenir de ma retraite ainsi que celui de notre système solidaire.

il faudra se battre dur pour mobiliser tout le monde car l'union à du mal à se faire et on vit dans un monde d'égoistes.
et le peuple à peur.mais nos anciens ont obtenu pleins de chose qu'il ne faut pas perdre .je félicite Mr galluchot gérard pour ce qu'il fait comme beaucoup d'autre .il n'y a pas assez de personne comme cela.et n'ayons pas peur de dire les vérités en face.

[quote="zorro"]il faudra se battre dur pour mobiliser tout le monde car l'union à du mal à se faire et on vit dans un monde d'égoistes.
et le peuple à peur.mais nos anciens ont obtenu pleins de chose qu'il ne faut pas perdre .je félicite Mr galluchot gérard pour ce qu'il fait comme beaucoup d'autre .il n'y a pas assez de personne comme cela.et n'ayons pas peur de dire les vérités en face.

c'est vrai on a l'impression que tout le monde se laisse mener par le bout du nez.car ils ont peur pour leur emploie mais sa ne change rien maintenant il n'y a plus de respect de rien et des personnes considéré comme du bétail.marche ou crève.+les lèches cul qui font beaucoup de mal et se l"a coule douce.

Aujourd'hui, le salarié peut faire valoir ses droits à la retraite dès l'âge de 60 ans, s'il a son nombre de trimestres ou années de cotisation.
Dans le cas contraire, il ne peut valider son droit qu'après avoir cotisé le nombre de trimestres suffisants ou alors il part avec une décote en fonction des trimestres manquants.
Dès l'âge de 65 ans, la borne de limite d'âge est atteinte, sa retraite est validée même si le salarié n'a pas assez cotisé.
Le gouvernement a comme projet de déplacer la première borne : 60 à 63 ans pour pouvoir prétendre à une retraite bien méritée et aussi la deuxième qui est la limite d'âge, elle passera de 65 à 68 ans, pour avoir ses années de cotisation si elle veut une retraite à taux plein en cas de trimestres manquants.
Le salarié ne pourra donc plus valider sa retraite à 65 mais à 68 ans.
Si on fait le calcul pour une personne qui aura commencé à travailler vers les 24, 25 ans à cause d'années d'étude ou à qui il manque des trimestres ou années pour cause de chômage ou autre, celle ci devra attendre presque 70 ans pour prétendre bénéficier à une pension à taux plein.
Imaginons, une homme ou une femme de cet âge, usé par le travail dans des conditions qui sont et seront de plus en plus pénibles. Un vieillard en quelque sorte, il sera à cet âge là!
Quel projet de vie, de loisirs peut on encore construire quand on a 68 ans?
Avons nous bien compris et mesuré les conséquences du projet du gouvernement à la botte des marchés financiers? Le capitalisme a tout détruit ; nos usines, nos services publics, nos pays.... Il lui reste un gros gâteau à manger : notre Protection Sociale. Après ce sera l'esclavage... qui n'est ni plus ni moins qu'un système économique en quelque sorte.
Nous le voulons?
L'objectif est donc bien clair : il faut qu'il y ait un minimum de personnes qui profite de cet acquis social imaginé par les résistants en 1943 durant la guerre pendant que d'autres collaboraient avec les nazis et mis en place par le Conseil National de la Résistance en 1945. Denis Kessler ex numéro 2 du MEDEF l'a dit, il n'y pas longtemps : " Il faut détricoter tout ce qui a été fait par le Conseil National de la Résistance le plus rapidement possible". [/justify]